Pensées du jour

Il est difficile pour une personne saine de s'entendre dire qu'elle est malade alors qu'elle ne l'ai pas. Quand la psychiatrie vous râbache éternellement qu'à partir du moment où vous avez merdé psychiquement, le traitement est à vie.

Et moi je me débat comme je peux en disant à travers facebook que je suis normal, que j'ai pêté un plomb quelques fois dans ma vie, que mon éthique m'a rendu chômeur et qu'apparemment je ne fais que de me plaindre. Je suis en mauvaise passe c'est tout.

J'ai souvent remarqué que le positif et le sourire entraîne le positif et le sourire.

Un sourire entraîne la joie, un sourire ramène l'espoir, un sourire fait que des portes s'ouvrent.

J'ai un talent, à moi de l'exploiter au mieux sans pour autant en attendre trop. J'écris de belles choses malgré mes certains désespoirs, mais je ne suis pas malheureux, loin de là. Juste que les karmas sont fait d'épreuves à surmonter, et que rien n'est insurmontable, rien n'est infaisable. Parfois il suffit de l'appel d'un ami, d'une copine, d'un proche pour rebooster un moment de solitude.

Je suis responsable de ma propre vie, comme chacun, mais parfois, il faut savoir demander de l'aide autre qu'à un psy qui ne fera que donner des médicaments endormant un problème pour "aller mieux quelques temps", mais qui ne résoudra aucunement le problème.

En tout cas il est sur que je ne suis pas malade, j'ai fait des conneries voilà, mais cela ne mérite pas la prison chimique à vie.

Je termine ce post, je vais écrire un poème.

Merci de continuer à me lire.

Ps : je ne remettrai plus la pub sur mon blog, ça gène trop, et je demande aux 4 ou 5 personnes qui m'ont écrit de recommencer, j'avais mal configurer la redirection du courriel donc à part les notifications, je n'ai rien reçu d'autre. Excusez moi.

Merci.

PPS : je suis vaiment un Ange

PPPS : il est possible que je fasse éditer un receuil de poèsie quand j'en aurai écrit une cinquantaine, pour celles et ceux qui les trouvent beaux.